Matériaux utilisés : bois, aluminium, mécanisme porte-mine BIC.
Machines mises en oeuvre : tour à métaux, scie à ruban et perceuse à colonne.
Histoire : La voie classique pour une personne voulant faire des stylos est de s'orienter vers l'utilisation de mécanismes prêts à l'emploi. De mon point de vue il s'agit d'une "standardisation" et d'une limitation trop importante. Le fait d'utiliser comme base de départ un mécanisme issue d'un stylo (un porte-mine en l'occurence) du commerce rajoute une part de singularité et permet ainsi de se détacher, pour partie, des classiques artisanaux.
Le point de départ est donc un mécanisme d'un critérium BIC, à partir duquel l'ossature finale devait respecter les côtes suivantes ; 10 mm de diamètre et environ 132 mm de longueur, afin d'obtenir une harmonie dimensionnelle.
Le corps du stylo est réalisé à partir d'une barre d'aluminium. Le long épaulement pour l'incrustation du bois, les divers chariotages, alésages, taraudage et filletage sont réalisés au tour à métaux. Par la suite, un carrelet est extrait d'un morceau de prunier à la scie à ruban puis percé en son centre sur la longeur, au diamètre de l'épaulement réalisé sur le corp en aluminium. Le carrelet est ensuite mis au diamètre final (10mm), poli puis une finition à la cire d'abeille est appliquée. De toutes ces étapes est né le porte-mine C-arkatza.
Comme tout prototype, il apparait toujours des défauts que ce soit de l'orde technique, fonctionnel ou esthétique. Dans ce cas présent, une amélioration esthétique a été apportée en queue de stylo, comme l'illustre l'image suivante.
Le corps du stylo est réalisé à partir d'une barre d'aluminium. Le long épaulement pour l'incrustation du bois, les divers chariotages, alésages, taraudage et filletage sont réalisés au tour à métaux. Par la suite, un carrelet est extrait d'un morceau de prunier à la scie à ruban puis percé en son centre sur la longeur, au diamètre de l'épaulement réalisé sur le corp en aluminium. Le carrelet est ensuite mis au diamètre final (10mm), poli puis une finition à la cire d'abeille est appliquée. De toutes ces étapes est né le porte-mine C-arkatza.
Comme tout prototype, il apparait toujours des défauts que ce soit de l'orde technique, fonctionnel ou esthétique. Dans ce cas présent, une amélioration esthétique a été apportée en queue de stylo, comme l'illustre l'image suivante.